Contrairement à ma sœur je n’ai jamais été une petite fille modèle. Au contraire je suis la honte même de notre famille car mon seul ordre et REBELION je refuse de me laisser marcher sur les pieds. Je suis le seul de mes ainés à me battre contre mon petit morveux de frère qui compte redorer le blason de notre famille. Je suis colérique et battante une vraie tête de mule mais c’est pour cela qu’on m’aimeCar étant tros souvent sur le pied de guerre cela peut agacer certain. je peux tuer la première personne qui ose me rappeler que je fais partie de la famille Murakamie. Pour être franche je déteste tous ce qui fait de moi un membre de ce clans souvent dépressive accause de cela je me refugie dans les combat et l'adrénaline qu'il me procure. En temps normal je garde mon calme surtout face à ma sœur aine mais les dispute sons fréquentent. mais tous nos dispute ont un point commun elle finice a l'hopital.

D'apparence je parais fragile et délicate mais, a croire ma soeur je suis l'Enver du miroir maladroite dans la vrais vie et fine lame au combat je suis doté d'un corps pouvant supporter plusieurs semaines d'entrainement intensif. Je ne suis pas féminine pour deux sous mais, la seul par de moi qui le prouve que je suis une fille sont ma poitrine généreuse trop à mon gout que je cache sous des bandages mes cheveux d'un noir au reflet bleuter au soleil et mauve sous la lune. Mes yeux par contre sons comment dire ............ Originaux. A ma naissance j'avais le choix entre les yeux bleu de la famille de mon paternel et les yeux Veret de la famille de ma mère. Le problème c'est que je n'ai pas été assez rapide pour choisir donc mes yeux son vairon ! .

Il était une fois, dans une contré lointaine, près des bois de l'oublie. Une jeune princesse aux yeux azure qui, en voulant offrir à mère la reine un cadeau confectionné par ses soins, mais la pauvre princesse fut kidnappée par le terrible Roi démon. Dans sa prison dorée elle ne pouvait espérer l'aide de personnes sauf celle d'un beau prin...

-Euh ... ... ... ... je crois que je me suis trompée d'histoire! désolée!!!!!!
Reprenons!

Voici l'histoire de ... ... ça n'a pas d'importance seule la morale compte!

Mission de récupération des gâteaux, prête!

Je m'avançais à pas de velours dans les couloirs de cette maison vide. Les cuisinières prenaient leur pause dehors, j'avais donc le champ libre. Je m'approchai de la porte quand un mouvement d'un serveur me fit sursauter. J'étais donc maintenant à plat ventre dans la cuisine auprès de mes copines les araignées. *bon appétit d'ailleurs* la péridionite qui avait élu domicile sous la cuisinière avait attrapé dans ses filets une petite mouche. Le serveur venait de quitter la pièce avec des verres d'eau dans son plateau, il ne me restait donc plus qu'à prendre les gâteaux et à filer.

Je fis un pas vers la table, puis je me mis à courir vers le plat de friandise quand tout à coup, sortit de nulle par mon frère, Hayaté me souleva du sol est me posa sur son épaule. Il prit un des gâteaux disposé sur la table au passage!
-Grand frère! lâche moi et rends moi mon gâteau Grrr !
-C'est vrai qu'ils sont bons !
-Rends les moi !
-Non, toi tu as des leçons de bonne conduite à prendre.

Par pitié tuez moi !!!!

La morale de l histoire: ne laissez jamais votre frère vous piéger quand vous essayez de voler des gateaux!
Les cours de bonnes conduites sont comme une séance de torture. Aujourd'hui la leçon était: comment se tenir à table ... Youpi!!! on va s'éclater

*au secours! achevez-moi!*

Katrina ma gouvernante essayait en vint de m'apprendre à me tenir droite à table. Ce fut long et fastidieux, mais au bout de 100h de travail elle réussit à faire de moi une véritable lady.

Cet instant fut bref!

Le temps était bleu nuit tendis que la neige d'un blanc immaculé orné le sol de notre jardin.
Je ne me lasserais jamais de ce spectacle. C'est ce que je pensais à ce moment-là.

-Ma chère petite Kaze il faut que je te parle!

Ma soeur venait de me rejoindre
Et elle venait m'annoncer une mauvaise nouvelle! demain c'était NOËL et le sur lendemain mon aniversaire!

*Quelqu'un a une corde pour moi?*

Que je vous explique. Noël est une période de fête dans les familles normales, où l'on offre des jouets aux petits enfants. Les parents économisent beaucoup d'argent pour offrir des cadeaux à leurs enfants.
Dans les familles les plus fortuné on économise pas. Pas la peine. Eux offre des poneys à leur progéniture... ou des voitures ...
Mais nous on ne nous a jamais offert de poney ni de voiture! Non! Nos parents sont trop marginos! ils veulent se détacher des stéréotypes. Pour leur plus grand plaisir et nos plus grands malheurs à nous, les enfants, de ces parents totalement azimuté.

Donc, vous comprendrez pourquoi je voudrais changer de famille dès que vous aurez vu la tête de mon cadeaux!

Comme prévu le 25 décembre arriva avec son cortège des cadeaux, de bonne humeur, la joie, de rire et de meutre!
Haruka, ma grande soeur, Hayaté, mon grand frère, et moi étions tous anxieux au moment découvrir nos cadeaux contrairement à Shotaro, petit merdeux ange de notre famille qui était ravi ouvrir ses cadeaux!

Nos parents qui habituellement n''étaient jamais présents pour cette cérémonie familiale avaient décidés de pointer le bout de leur nez. Quand ma mère ce décida à parler nous étions tous près à nous enfuir en courant sauf Shotaro qui, lui était pendu à ses lèvres, petit lèche c**.
C'est à ma soeur et moi qu'elle s'adressa:
-Mes chéries, je vous ai trouvé le cadeau ideal! je vous offre vos... Maris!
-... ?
Pardon! Quesque que la vieille nous a dégoté cette fois? A ce moment précis ma mère me fit signe de rentrer dans une pièce et attendre sagement.
La neige tomber doucement sur le sol avant de fondre, de disparaître dans les entrailles de la nuit.
-"Le char vaporeux de la reine des ombres monte et blanchit déjà le bords de l'horizon." A. de Lamartine
Ce paysage magnifique qui se présentait devant moi me rendais heureuse. Mais quelqu'un dans cette pièce sensé être vide me ramena à la réalité très vite.
- Amatrice de poesie?

Mon fiancer venait de se présenter à moi! Alors c'est ça que nous avait trouvé ma mère pour noël? moi qui pensais que c'était une blague...
La neige tombait irrésistiblement en m'attirant vers elle. Je compris à cet instant que ma place n'était pas ici, mais ailleurs.
Quelques heures plus tard je quittais la maison pour l'école militaire de Stabery au Royaume-Uni.
A mon départ Kurama le précepteur de ma soeur m'offrit un katana. Celui là même avec lequel il m'avait appris à me battre au sabre. Dans l'avion je ne pouvais détacher mon regard de cette arme.
Je n'ai pas grand-chose à dire sur ma vie passé à Stabery. Elle était calme seraine... enfin presque. Je passais ma vie à l'hôpital tous mes os avaient été brisés au moins une fois dans l'année, même certains dont je ne soupçonnais pas l'existance avait été cassés lors des combats. Mon maitre était un ivrogne de 32 ans qui racontait des blague gloc toutes les 5 min, il était sadique, traitre injuste, mais s'était un bon maître, grâce à lui et à cette école je me sentais enfin en vie!
Mais malgré mon envie irrépressible de rester je dus repartir au Japon. Je savais en partant que mon frère Hayaté, était atteins d'une maladie incurable. Mais je suis partie quand même, maintenant le temps de revenir sur mes origines était venu. A la mort de mon frère Haruka avait sombré dans la démence.

Les servantes de la maison m'avaient appelées pour la ramener à la raison. Elles m'indiquèrent l'endroit où se terrer ma soeur un bar malfamé. A mon arriver au comptoir je vis une sorte de... chose qui ressemblait à ma soeur.
Eh ben dit donc! Frangine, on dirait un panda dépressif qui a pris l'eau!
Haruka me foudroya du regard comme si ma venue la dérangait. A ce moment-là, au fond d'elle-même, elle souhaitait ma mort.... Que je disparaisse au plus profond des ténèbres.
«Je suis de mon coeur le vampire
un de ces grands abandonnés
Au rire éternel condamné
Et qui ne peuvent plus sourire!»
Baudelaire
Ma soeur avait donc laissé tomber son masque. Elle avait lâché plus de 18 ans de sentiment refoulé et le résulta n'était pas beau à voir.
La seule chose qui lui rendit son âme fut la douleur qu'elle ressentit lorsque je lui mis la raclée de sa vie pour lui remettre les pieds sur terre.
-Ma chère soeur, si tu veux mourir comme une trainée c'est ton choix, mais ne viens pas te plaindre apres! je t'ai connus plus vaillante.
Sur ces mots je partis loin, trés loin dans un endroit perdu au milieux de nulle part où je voulais reprendre ma vis à zéro.

Enfin peut-être pas!.